Les résolutions pour la nouvelle année. Chaque fois, c'est une nouvelle aventure, un nouveau défi. Pourquoi ? Parce qu'il s'agit de se battre contre soi pour n'en pas avoir. Chaque année vient avec son lot de nouveauté et d'espoir, l'espoir que cette fameuse nouvelle année sera porteuse de changement, de quelque chose de meilleur que soi. Comme si on allait se réveiller le matin du 1 er completement métamorphosé ou vide de toutes les choses qui nous ont pourris l'année d'avant. Toutes ces choses qu'on voudrait changer à propos de nous, de nos vie et de nos relations aux autres.
Cette année, j'arrête de fumer, de boire, de traîner devant mon ordi, d'être accro à mon téléphone, de manger des bonbons, du chocolat, de jeter mon argent par les fenêtres, je serai plus gentil ou moins gentil, je cesserai d'être un coeur d’artichaut, je me laisserai une chance pour tomber amoureux, je trouverai de la stabilité ou au contraire, je vais sortir de mon carcan et partir à l'aventure...
Il y a des tonnes de choses que l'on se dit, que l'on se promet mais que l'on ne fait jamais ou alors seulement quelques semaines ?
est-il plus simple de tenir une résolution ou alors de ne pas se fixer des objectifs intenables ?
Est-ce qu'on ne cesse de se remettre en question et de vouloir devenir meilleur si l'on ne se fait pas chaque année cette liste mentale ou écrite d'objectifs qu'on ne tient jamais ?
Est-ce qu'avoir comme objectif ; ne pas prendre de résolutions cette année, n'est pas déjà une résolution qu'on n'a pas tenue?
Cesser de dire et pour une fois agir..
Encore un leitmotiv à la noix que je ne suis jamais.
Je voudrais ne pas avoir de résolutions mais c'est plus fort que moi...
L'année prochaine, ceci, cela !
Patati et patata,
Je vais peut-être prendre comme résolution de devenir qui je suis (Merci Nietzsche --")
lundi 29 décembre 2014
dimanche 14 décembre 2014
Too many sandwiches...
No animal instinct left.
I knew that I was not supposed to listen to my intuition. It seems like it was doomed from the very beginning. Having a thing, a crush - or call it how you want - for someone from the band you're playing in... It does suck at the highest scale ever invented !
It is the worst idea because every possible issue is not a lucky one.
The one rule when you play in a band is : Pas de sexe dans le groupe !
Then, having a crush on someone surely means that nothing will ever happen or at least that nothing should ever happen.
Whatever. I'm dealing with rejection right now. I'm suffering from the P.I syndrom (Pas intéressé) because he was not. I hate these people who let you wait for a few weeks with the weirdest behaviour ever, letting live the doubt somehow by being all nice and sweet and eventually : BOOM, " Sorry, I do like you but that is the very issue. I "Like" you and that it all"
Makes more sense in french btw !
" Je t'aime bien", cela dit, le "bien" est ce qui pose problème dans la phrase.
Bah tiens ?!
Bon, avouons-le. C'est mieux ainsi et j'en ai tout à fait conscience mais tout de même. Je soigne mon orgueil blessé à coup de bière et de soirée électro à la laiterie, que je recommande parce que j'ai trouvé ça planant.
Aujourd'hui, tout semble plus facile ou presque.
J'ai un souci. Je ne sais pas comment être seule.
J'ai toujours un sale vide à combler. Un désir à combler.
Fichu tonneau des Danaïdes ! On y revient toujours.
Je crois que je souffre d'un syndrome de manque affectif et puis aussi d'hypocondrie avec tous les maux que je me trouve ce matin. Quand j'y réfléchis, j'ai pas été seule des masses depuis que j'ai commencé à sortir avec la gente masculine.
La seule vraie histoire que j'ai vécu, qui était vraie. Je l'ai balancé par la fenêtre.
La vie est d'une belle ironie. Le temps passe et je sais que j'ai fait un choix, que je l'assume et pourtant, la vie me met à rude épreuve.
Karma is a bitch. C'est ce qu'on appellera le retour de flammes, non ?
Tout le mal que j'ai semé dans le monde, bah. Voilà dans ma fratz ?
Je ne sais pas. Je ne crois plus trop à ce genre de bêtises. Je suis un peu trop vieille pour ça maintenant.
Cela dit, on peut tout à faire un très mauvais transfert entre ce qui m'est arrivé hier : rejet - bassiste - la vie craint - mais c'est mieux comme ça. avec ce qui est arrivé il y a environ un mois quand j'ai fait à peu près le même coup à D.
Ce n'est ni de la méchanceté ni de la cruauté, ni quoique se soit d'autre et il n'y a pas à être fâché pour cela. D'ailleurs, je ne le suis pas.
Je suis un peu déçue et c'est irrationnel parce que je savais parfaitement que c'était voué à l'échec. Que c'était pas pire des idées possibles mais "On ne peut pas empêcher un petit coeur d'aimer".
Oui, bon, d'accord. J'en fait encore des tonnes.
EN MODE DRAMAQUEEN !
mardi 9 décembre 2014
Is this the place we used to love ? Is this the place that I've been dreaming of ?
En ce moment, c'est l'interrogation sans fin. Le questionnement qui bouillonne dans mon cerveau. Je ne sais plus ce que je veux, ni où je dois aller.
Je suis perturbée.
Je voulais partir à Hambourg et d'un seul coup, cela ne semble plus si attrayant.
J'ai toujours envie de partir mais je m'interroge. Est-ce le bon moment? Sont-ce les bonnes raisons? Ne suis-je pas entrain d'essayer de fuir ce que je ne peux pas contrôler?
J'ai envie d'avoir mon concours et d'en terminer avec mes études. De devenir indépendante, d'entrer dans le monde réel. Et en même temps, cela me terrifie. Et si, j'échouais encore?
Serai-je capable de faire face encore, d'accepter un second échec, moi qui n'accepte pas la faiblesse?
J'ai l'impression de m'éparpiller toujours, d'être un sac de sable durant un jour de grand vent. Je disparais dans tous les sens, dans toutes les choses que je fais à moitié car je n'ai pas le temps de m'arrêter assez longtemps pour faire les choses bien, ou mieux.
En ce moment, je fais de la musique et cela m'apporte de la satisfaction. Je fais de la scène et cela me rend heureuse. Je voudrais continuer. Si je pars, ça sera fini.
Je vais devoir choisir et j'ai peur de regretter.
Choisir, c'est abandonner.
Choisir, c'est renoncer.
Je suis perturbée.
Je voulais partir à Hambourg et d'un seul coup, cela ne semble plus si attrayant.
J'ai toujours envie de partir mais je m'interroge. Est-ce le bon moment? Sont-ce les bonnes raisons? Ne suis-je pas entrain d'essayer de fuir ce que je ne peux pas contrôler?
J'ai envie d'avoir mon concours et d'en terminer avec mes études. De devenir indépendante, d'entrer dans le monde réel. Et en même temps, cela me terrifie. Et si, j'échouais encore?
Serai-je capable de faire face encore, d'accepter un second échec, moi qui n'accepte pas la faiblesse?
J'ai l'impression de m'éparpiller toujours, d'être un sac de sable durant un jour de grand vent. Je disparais dans tous les sens, dans toutes les choses que je fais à moitié car je n'ai pas le temps de m'arrêter assez longtemps pour faire les choses bien, ou mieux.
En ce moment, je fais de la musique et cela m'apporte de la satisfaction. Je fais de la scène et cela me rend heureuse. Je voudrais continuer. Si je pars, ça sera fini.
Je vais devoir choisir et j'ai peur de regretter.
Choisir, c'est abandonner.
Choisir, c'est renoncer.
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